Il y a peu, Newstank, la revue spécialisée dans l’éducation consacrait un article à l’Educathon organisé par le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche. Judicieusement, Newstank restituait une interview de la conseillère éducation au cabinet de la ministre du SUP afin de nous permettre de comprendre en quoi consistait un Educathon.
À la lecture j’ai cru à une parodie. On apprend que le ministère a réuni pendant 2 jours 150 collègues à l’esprit juvénile afin de produire des outils destinés à faciliter la mise en œuvre de la loi ORE. À les voir toutes et tous en photos on pense à « La vie est un long fleuve tranquille » avec son spectacle paroissial de fin d’année. Pas si étrange : un des animateurs, pardon, des « cabinets de conseil », est à l’origine du fameux ( ?) « Hack my church » organisé en l’église Sainte Blandine de Lyon - grâce au soutien de la Fondation Saint-Irénée - pour « voir l’invisible » et « pourquoi pas un chapelet connecté »… Au point où nous en sommes avec Vidal et Blanquer, s’en remettre à la miséricorde divine n’est peut-être pas si absurde.
À la lecture j’ai cru à une parodie. On apprend que le ministère a réuni pendant 2 jours 150 collègues à l’esprit juvénile afin de produire des outils destinés à faciliter la mise en œuvre de la loi ORE. À les voir toutes et tous en photos on pense à « La vie est un long fleuve tranquille » avec son spectacle paroissial de fin d’année. Pas si étrange : un des animateurs, pardon, des « cabinets de conseil », est à l’origine du fameux ( ?) « Hack my church » organisé en l’église Sainte Blandine de Lyon - grâce au soutien de la Fondation Saint-Irénée - pour « voir l’invisible » et « pourquoi pas un chapelet connecté »… Au point où nous en sommes avec Vidal et Blanquer, s’en remettre à la miséricorde divine n’est peut-être pas si absurde.